Les études de genre au Brésil
Les études de la notion de genre, originaire de la littérature, ont divers abordages. Oui, on sait. Les travails sont divisés par domaine: on étudie genre littéraire, discursif ou textuel. Oui, c'est claire. Dans le domaine de la communication, ils sont partagés par media: on analyse genre télévisé, radiophonique ou digitale. Oui, c'est vrai. On parle de genre médiatique ou communicationel, mais on ne progresse pas la notion de genre journalistique.
Au Brésil, la recherche de genre est développée, fondamentalement, dans deux principaux domaines académiques : linguistique et de communication. Comme dans tout le monde, la discussion sur genre vient de la littérature et de cette-ci pour le champ de la linguistique, où la discussion traite de genre textuel. À son tour, dans le champ de la communication, on étudie genre médiatique, genre radiophonique, genre télévisé et genre numérique, pour les nouvelles medias.
Dans la linguistique, les chercheurs sont surtout à la ville de Recife (Pernambuco), dans le sud et le sud-est du pays, spécialement dans l'état de Santa Catarina. Un des groupes de grande référence fait partie des programmes de linguistique et de sciences de la langue à l'Université Fédérale de Santa Catarina (UFSC), à l'Université do Sud de Santa Catarina (Unisul) et a l'Université Fédérale de Santa Maria (UFSM). Il y a un an, José Luiz Meurer (UFSC), Adair Bonini (Unisul) et Désirée Motta-Roth (UFSM) ont organisé un livre qui, actuellement, se devient une référence bibliographique de base méthodologique pour qui étudie le sujet. Avec le titre « Gêneros: teorias, métodos e debates", le livre réunit une grande partie des studieux du genre textuel. Dans le proche mois d'août, il aura lieu, à Tubarão (Santa Catarina), le 4° Colloque International des études de Genres Textuels, coordonné par Adair Bonini, Débora Figueiredo (UFSC) et Charles Bazerman (University of Californie).
À l'Université Fédérale de Pernambuco (UFPE), le linguiste Luiz Antônio Marcuschi travail avec des genres numériques. Il a organisé, dans 2005, « Hipertexto e gêneros digitais. Novas formas de construção dos sentidos » (« Hipertexte et genres numériques. Nouvelles formes de construction du sens »), déjà la deuxième édition.
Dans le champ de la Communication, principalement, dans le journalisme, les études sont divisées par media. D'autres chercheurs étudient les genres médiatiques, comme la sémiologue Irene Machado de l'École de Communication et Arts (ECA) de l'Université Catholique de São Paulo (USP), qui a présenté l'article « Gêneros e/ou formatos? Design de linguagem mediada » (« Genres et/ou formats ? Design de langage négociée ») dans le dernière rencontre de l'Intercom (Société Brésilienne d'Études Interdisciplinaires de la Communication), réalisé en septembre 2006. Aussi consacré aux études des genres médiatiques, l'enseignant Jeder Janotti Junior - actuellement coordinateur du Programme de Pos-Graduation de la Faculté de Communication de l'UFBa (Bahia) - analyse les genres discoursifs à travers la recherche sur musique populaire massive. Un des articles, où il explique sa compréhension de genre, est le «Midia, a musica popular massiva e os generos musicais » (« Media, la musique populaire massive et les genres musicaux »).
Les genres télévisés sont étudiés, principalement, par Elizabeth Duarte (Unisinos, RS), qui travaille avec le chercheur François Jost (connu de tous, je croix; Paris III) et avec l'enseignante Itania Gomes (UFBa). Un des livres plus connus au Brésil sur des genres télévisés a été écrit par le journaliste radio José Carlos Aronchi. Publié par la maison d'édition Summus dans 2003, « Gêneros e formatos na televisão brasileira » (« Genres et Formats dans la Télévision Brésilienne») a basé la série « Télévision : Genres et Langues », élaborée par l'équipe du « Saut pour l'Avenir » (TVE, réseaux publique).
Sur les genres radiophoniques, l'oeuvre plus lue est le manuel « Gêneros radiofônicos, os formatos e os programas em áudio » («Genres radiophoniques, les formats et les programmes en audio »), d'André Barbosa Filho, enseignant de l'École de Communications et Arts de l'Université de São Paulo (ECA-USP). Le rechercheur de la Fondation Université Régionale de Blumenau (Furb), Clovis Reis, est, actuellement, un des chercheurs brésiliens qui développent des études sur les genres de radio.
Toutes ces voies, malgré à l'intérieur du domaine du journalisme et de la communication, n'ont déroulent pas le dialogue. Quand il s'agit de genre textuel, la discussion des groupes académiques embrassent différents terrains de recherche. Ils ont des études sur les genres scientifiques, didactiques où informatique. - "Les caractéristiques du champ, la tradition"...oui.
Néanmoins, quand on parle de genre journalistique, les recherches ne parlent pas entre elles-mêmes parce que elles examinent différents medias, par différents traditions, avec différents intérêts. C'est le media qui délimite le genre où sont, spécialement, le marché et l'activité journalistique? Il y a des genres journalistiques ou télévisuels? C'est dificile accepter la notion de 'sub-genres', quand la notionde genre ne convainc pas. Il n'y pas des 'genres imprimés'?
Au Brésil, avec les débats et les salutaires divergences, il faut mettre en lumièr les catégories. C'est ne pas une rôle de l'academie?
Mise à jour :: 18h50 :: 20/04/07 :: vendredi
Une faute
Au Brésil, nous avons un chercheur de genre journalistique très connu qui s'appelle José Marques de Melo. Il a produit le livre plus lu et, peut être, plus mentionné au pays, quand on parle de 'genre journalistique'. Adopté par toutes les écoles de journalisme, "A Opinião no jornalismo brasileiro", publié en 1985, a été réédité en 2003 avec un autre titre: "Jornalismo Opinativo". Je crois, c'est pour ça que j'ai ne pas le rapporté dans le texte au-dessus.
C'est important de dire que, dans ce livre, Marques de Melo a relu Luis Beltrão, le premier chercheur à écrire sur genres journalistiques au Brésil.
Actuelement, Marques de Melo prépare un autre livre sur genre journalistique dans le quotidien avec ses étudiants. Cet ouvre doit être publiée cet anné.